| Titre original | Prey For The Devil |
|---|---|
| Date de sortie | 26 octobre 2022 |
| Durée | 93 mn |
| Réalisé par | Daniel Stamm |
| Avec | Virginia Madsen , Colin Salmon , Jacqueline Byers |
| Distributeur | Metropolitain Film Export |
| Année de production | 2022 |
| Pays de production | Etats-Unis |
| Genre | Film d'horreur |
| Couleur | Couleur |
Soeur Ann, 25 ans, pense être capable de réaliser un exorcisme. Avec le soutien d'un mentor, un professeur qui ressent le don particulier de la nonne, Ann est autorisée à observer des sessions d'entraînement. Elle fait la rencontre du patient le plus perturbé du lieu. Au cours d'une séance, soeur Ann fait face à une force démoniaque...
Nouvel exorcisme pour le réalisateur du Dernier Exorcisme. Après dix ans à bosser sur des séries d’horreur (Scream, Fear the Walking Dead, Them…), Daniel Stamm revient à son sous-genre de prédilection. La Proie du diable fait le portrait d’une religieuse, violentée dans son enfance par une mère possédée par Satan, qui intègre une école d’exorcisme récemment ouverte par le Vatican pour mieux régler ses comptes avec le Malin… La mise en place du film est séduisante et, le temps d’une première scène de désenvoûtement plutôt réussie (faisant un usage ingénieux de la chevelure d’une petite fille démoniaque), on croit qu’on va s’amuser un peu. Mais les péripéties qui suivent sont totalement expédiées, filmées sans entrain par des gens manifestement pressés de rentrer chez eux. Reste la conviction de l’actrice principale, Jacqueline Byers, assez attachante en nonne rock’n roll.
Nouvel exorcisme pour le réalisateur du Dernier Exorcisme. Après dix ans à bosser sur des séries d’horreur (Scream, Fear the Walking Dead, Them…), Daniel Stamm revient à son sous-genre de prédilection. La Proie du diable fait le portrait d’une religieuse, violentée dans son enfance par une mère possédée par Satan, qui intègre une école d’exorcisme récemment ouverte par le Vatican pour mieux régler ses comptes avec le Malin… La mise en place du film est séduisante et, le temps d’une première scène de désenvoûtement plutôt réussie (faisant un usage ingénieux de la chevelure d’une petite fille démoniaque), on croit qu’on va s’amuser un peu. Mais les péripéties qui suivent sont totalement expédiées, filmées sans entrain par des gens manifestement pressés de rentrer chez eux. Reste la conviction de l’actrice principale, Jacqueline Byers, assez attachante en nonne rock’n roll.
