-
Un film drôle et émouvant qui a su en moins d’une décennie s’imposer comme un classique.
-
Un plaisir intemporel.
-
(...) féerie toujours renouvelée du présent pur et idéal d'une forme qui touche à son incandescence. Les quasi-anonymes animateurs de Pixar sont comme autant de petits Murnau, à la fois primitifs et sophistiqués, du cinéma d'animation en images de synthèse d'aujourd'hui.
-
Nemo et son ravissant monde vivant aquatique honore parfaitement le graphisme glamour des classiques Disney d’antan.
-
Un moment d'humour écaillant avec au menu des héros à la personnalité bien trempée (...) Quant à la réalisation elle coule, fluide avec ces paysages sous-marins d'une beauté saisissante. L'équipe Pixar, as de l'animation en images de synthèse, a gagné son nouveau pari plein de bulles.
-
De quoi nous replonger une seconde fois avec joie dans les profondeurs d'un des plus grands Pixar.
-
Cette version en 3D prouve que le relief est décidément fait pour les profondeurs marines.
-
D’une beauté époustouflante, drôle à souhait et extrêmement divertissant.
-
La 3D le rend encore plus irrésistible, un des meilleurs films Disney.
-
Une démonstration technique époustouflante assortie d’un récit de bout en bout passionnant, drôle et surtout incroyablement émouvant. Génialissime !
-
Ressortie relief d’un chef-d’œuvre de Pixar : en plus de relever haut la main les défis esthétiques qu’il s’était lancés, Le Monde de Nemo, sans une ride, tire encore les larmes et plus d’une fois. Surtout, il sonne aujourd’hui comme un émouvant commentaire de ce qui est à la fois l’histoire contemporaine du studio et son gimmick narratif le plus éculé : la reconquête d’un éden.
-
Si, dans la plupart des cas, le passage a posteriori d’un film en 3D s’avère un gadget aux effets dévastateurs (image assombrie, reliefs dignes d’un mauvais spectacle de marionnettes), le relifting de ce classique Pixar est un peu l’exception qui confirme la règle. Non seulement la féerie numérique du petit monde aqueux conçu à l’origine par Andrew Stanton et Lee Unkrich ne s’en trouve jamais dénaturée ; mais en plus la 3D agit ici comme un prolongement technologique qui transcende les forces de Nemo : la fluidité et la grâce.
-
Alceste à Bicyclette est une balade souriante dans les lumières douces de l'hiver.
-
Dix ans après sa sortie en salle Le Monde Nemo s'est refait une beauté en 3D. Spectaculaire !
-
Comment réunir un petit poisson captif d'un aquarium et son papa poule qui se fait un mouron d'enfer au fond de l'océan ? Les studios Pixar ont trouvé la réponse avec ce film étourdissant et jubilatoire, qui séduira tous les publics.
-
Si Le Monde de Nemo est l'un des films les plus drôles et bondissants de ces dernières années, c'est aussi l'un de ceux qui font toucher avec la plus grande justesse, par la simplicité de la mise en scène davantage que par le récit, la fragilité du vivant, peur de la vie et de la mort s'y présentant comme les deux faces d'une même pièce.
-
Malgré un argument assez pauvre et une narration très linéaire, Finding Nemo marque un véritable tournant dans l'animation 3D : pour la première fois, l'ordinateur, entièrement au service du récit, s'efface au point que le spectateur en vient à oublier qu'il assiste à un spectacle d'imagerie numérique (...) Et des prodiges comme la diffusion ondulatoire de la lumière subaquatique ou un ballet de méduses translucides semblent bien réels tout en dégageant une véritable poésie.
-
Très intelligent et imaginatif.
-
Disney sait illustrer des poissons comme personne n’a jamais su le faire.
-
Les têtes pensantes du studio assurent qu’il ne s’agit pas d’une simple conversion mais que tout le film a été repensé pour la 3D. Il faut le voir pour le croire, tant les effets sont fluides et naturels. Les sujets aquatiques semblent donc se prêter parfaitement à la 3D, quand l’on pense au récent « Odyssée de Pi », qui était une autre belle réussite stéréoscopique marine. Avec « Nemo », l’immersion en eau profonde est totale, et permet d’admirer encore plus la prouesse informatique et plastique d’un film vieux de dix ans. Mais à l’aune des nouvelles productions Pixar (l’inégal « Rebelle », les infantiles « Cars »), le constat est pourtant doux-amer : le studio si innovant hier aurait-il perdu son mojo ?
-
Toujours satirique sur les bords, ce dessin animé transcende les pesanteurs des produits Disney - qui distribue le film - et synthétise avec une insondable fantaisie la diversité du monde marin.