Direction la campagne avec Frédéric Lopez, Rose et Thierry Marx pour Lambert Wilson mercredi. L’acteur a d’ailleurs profité de ce passage dans l’émission de France 2 pour évoquer son père décédé.

Une maison à la campagne, un feu de bois, un animateur qui joue les copains d’un soir et trois personnalités qui ne se connaissent pas forcément mais qui vont partager un week-end sous l’œil des caméra : c’est la recette à succès de La Parenthèse inattendue imaginée par Frédéric Lopez. Mercredi, ce sont trois nouveaux invités qui poseront leurs valises dans ce petit coin de paradis où le temps semble s’être arrêté : la chanteuse Rose, le cuisinier Thierry Marx et l’acteur Lambert Wilson.Très discret sur sa vie privée, le comédien, qui a notamment enchanté les Français avec Palais Royal, s’est laissé aller à quelques confidences émouvantes sur son père aujourd’hui décédé et le manque de reconnaissance qui existait entre eux. Il a notamment affirmé : "Il n’a jamais été capable, et c’était l’une de ses faiblesses, de dire devant un public, même une personne, que ce que je faisais était bien. C’est comme si ça l’annulait lui-même, et il ne pouvait pas supporter ça."Il poursuit en confiant : "Je me souviens ma première mise en scène au théâtre des Bouffes du Nord, j’avais mis en scène Les Caprices de Marianne, et il arrêtait les gens du public pour leur dire à quel point c’était nul. J’étais dans le bar du théâtre et je vois une dame, amie assez chic, qui me dit : "Écoute Lambert, il faut absolument que tu arrêtes ton père parce qu’il est en train de parler à tout le monde en disant combien c’est nul, épouvantable etc." (…) C’est parce qu’en fait, cette position du père admiratif, même s’il avait de l’admiration, était un rôle qu’il ne pouvait pas jouer. Il n’arrivait pas à se détendre. Il y avait une énorme pudeur."Suite et fin des confessions de Lambert Wilson ce mercredi à 22h15 sur France 2 dans La Parenthèse Inattendue.