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Ça y est, c’est officiel: le "Greta Gerwig movie" est un genre à part entière. Qu’elle se nomme Frances Ha, Mistress America, ou Maggie, comme ici, l’actrice joue la même fille: une intello névrosée qui arpente New York en cherchant un sens à sa vie. Dans le registre, la première demi-heure de Maggie a un plan est parfaite: la danse sur "A Message to You, Rudy, Ethan Hawke, les blagues sur le don de sperme... Puis ça se met à ressembler à du Woody Allen en mode random, sans véritable enjeu, ni émotion, ni même une punchline rigolote. Pas désagréable, non, mais totalement inoffensif. Pour les amateurs, néanmoins, il y a de quoi patienter jusqu’au prochain Noah Baumbach.
Toutes les critiques de Maggie a un Plan
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Sans se départir totalement d'un côté "déjà vu", Rebeca Miller signe une oeuvre pétillante d'une élégance folle.
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Filant sur près d’une décennie avec un sens de l’ellipse remarquable, le film dessine un parcours sentimental erratique, complexe, dont les rebondissements échappent aux automatismes balisés des comédies romantiques
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La quête du bonheur est au centre de ce film réjouissant, dont les protagonistes explorent la carte du Tendre avec une énergie communicative.
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La mise en scène pompe son énergie pour mettre en mouvement une galaxie de protagonistes, de situations, de rebondissements…
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(...) l’actrice Greta Gerwig magnifie, entre grâce et maladresses, son rôle de parenthèse.
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Son triangle amoureux est tout sauf neuf, mais la qualité de l'écriture et le charme des comédiens le rendent parfois irrésistible.
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Greta Gerwig, repérée dans "Frances Ha", est en passe de devenir un genre cinématographique à elle toute seule. Peut-être est-ce une bonne nouvelle en ce qui la concerne, mais son numéro commence à lasser.
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Un vulgaire sous-produit de plus d’une vague post-Woody Allen qui s’essoue.