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Des samouraïs aux yakusas en passant par un arrêt typique dans un love hotel coquin, il ne manque rien à cette aventure exotique riche en courses-poursuites haletantes. Clou du show, un mano a mano sur le toit dun train à grande vitesse. Et comme toujours, la touche d'humour spécial Wolverine, un régal !
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Cette version de Yakuza à la sauce superpouvoir fonctionne grâce à sa mise en scène propre, son humour eastwoodien et sa noirceur assumée.
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Puisant aux sources du comics originel, le film, tourné au Japon, met l'accent sur la psyché tourmentée de Wolverine tout en privilégiant laction spectaculaire : duels au sabre, arts martiaux, yakusas, ninjas En contrepoint, les quelques scènes sentimentales se révèlent un peu longuettes. D'où, parfois, un manque de rythme. Pas de quoi faire la moue pour autant. Et surtout ne partez pas avant la fin du générique : une ultime séquence des plus enthousiasmantes vous y attend. Elle laisse augurer un prochain volet encore plus réussi.
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Un cocktail d’été rafraichissant qui comporte l’essentiel du film d’action, « Wolverine » représente nos mutants super-héros de toujours, mélangés avec le style du cinéma Japonais.
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Un film de super-héros qui ne ressemble à aucun autre.
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Personne ne changera d’avis sur le personnage de Wolverine même avec ce que Jackman en fait, par contre, le scénario est mieux ciblé que d’habitude, beaucoup plus cohérent avec un impact viscéral.
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WOLVERINE – LE COMBAT DE L’IMMORTEL captive avant tout pour sa gravité émotionnelle (de chaque dialogue, chaque combat), remarquablement portée par un Hugh Jackman que l’on croit à chaque instant près de l’explosion. Mieux : certaines scènes – la vision de Nagasaki dévastée, la miséricorde de Logan envers un ours agonisant, le combat contre Shingen – se hissent aisément parmi les meilleures livrées cette année par le blockbuster hollywoodien.
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Le film prend ses sources d’inspiration dans les films de samuraï, le film noir, le western et alterne humour et moments beaucoup plus sombres. Loin de plier sous le poids des effets spéciaux et d’une mécanique XXL, il y de vrais trouvailles (un enterrement transformé en fascinant combat d’arts martiaux à la chorégraphie aérienne) et une volonté d’apporter un peu de profondeur à l’exercice.
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Un Wolverine plus intimiste, moins spectaculaire que la majorité de ses concurrents de l’été. Quelques incohérences et un rythme pas toujours soutenu mais un X-Men au pays du soleil levant dans une affaire de yakusas, c’est pas si mal.
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Meilleur que le précédent opus, ce produit industriel dérivé des « X-Men » enchaîne les combats sadomaso jusqu'à l'indigestion. Trop daction tue l'action, au point de provoquer une certaine torpeur à mi-parcours. Néanmoins, ce volet, signé du réalisateur de « Walk the Line », offre des scènes mémorables comme celle dun Wolverine criblé de flèches, une sorte de saint Sébastien sauce Marvel. Du grand gros cinoche à mâcher comme un chewing-gum parfumé au wasabi !
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le film est là l’image de Hugh Jackman : convenable, trop pro pour ne pas contrôler ses aspérités, pas assez génial pour les faire exister durablement.
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Un blockbuster calibré, efficace et hyperréaliste qui offre des démonstrastions spectaculaires d'arts martiaux, mais à qui il manque un supplément d'âme.
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Le résultat est un peu plus à la hauteur des attentes mais cela reste un divertissement formaté pour plaire au plus grand nombre, efficace mais limite aseptisé. Sans manquer de personnalité, grâce notamment à un Hugh Jackman que l'on retrouve toujours avec un certain plaisir dans le rôle, ce Wolverine manque certainement d'originalité pour convaincre complètement. Le public estival en quête d'action devrait néanmoins en avoir pour son argent.
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C’est rassurant de voir un blockbuster comme celui-ci qui a trouvé sa place et compte bien y rester.
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Une histoire sérieuse, parfois sombre qui carbure à toute vitesse.
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Wolverine comme vous ne l’avez jamais vu. Changement radical d’atmosphère dans cette aventure au pays des samouraïs, mettant en scène le mutant le plus charismatique des X-Men, vulnérable, tourmenté et portant son immortalité comme un fardeau. Des scènes d’action spectaculaires dans des décors naturels somptueux, des combats enragés et quelques touches d’humour : un cadeau pour Hugh Jackman, décidément dans son élément.
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Une histoire imprévisible, plutôt pesante qu’irrésistible, un film ambitieux avec des moments efficaces mais qui ne va pas au bout des choses.
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Pas un blockbuster de super-héros de plus, mais plutôt un réjouissant film d'action intimiste, croisement entre western spaghetti façon Sergio Leone et film de Samouraï.
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« The Wolverine » est le film de super-héros le plus irréprochable, le moins prétentieux et le plus satisfaisant de cet été.
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C’est griffes contre sabres. Les scènes de combat sont réglées avec maîtrise par James Angold. (...) Et une totale neutralité. Il a le bon goût de ne pas se prendre trop au sérieux. Et cette histoire non plus. Quelques répliques d’humour viennent dire le détachement avec lequel il conduit son affaire.
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Alternant de manière un peu mécanique les scènes de combat (...) et les différents prétextes à introspection qu'il sème sur la route de son héros, le réalisateur fait un film qui n'est vraiment réussi ni dans l'action ni dans l'intime, sans être franchement raté sur l'ensemble.
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Un blockbuster Marvel qui essaie de trouver son inspiration dans les séries B de ninjas nippones plutôt que dans la surenchère d’effets spectaculaires à l’américaine. Un supplément d’âme et une psychologie fouillée auraient pu élever le spectacle qui finit en banal divertissement.
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Cette énième variation signée James Mangold promet que l’homme aux griffes d’acier est cette fois poussé au bout de ses limites physiques et émotionnelles. De même que les spectateurs, sans aucun doute.
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Tout le monde fait son job, et pourtant, le cœur n’y est pas, la faute à un effet fourre-tout sans structure ni âme. Sorte de best-of peu convaincant de tout ce qui s’est fait ces dix dernières années dans les films de super héros, avec en prime un scénario plus que bancal, "Wolverine : le combat de l’immortel" gagne haut la main le titre de blockbuster le plus ennuyeux et inepte de l’été. Au suivant.
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Si Hugh Jackman reste un Wolverine convaincant, force est de constater que son personnage est bien plus intéressant quand un film ne lui est pas exclusivement dédié.
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Tout le film est à l’image de cet opportunisme qui serait tolérable s’il n’était concrétisé dans un tel bâclage : un blockbuster sans souffle pensé sur une idée isolée (un personnage ultra cool), mais où les aléas de production ont réduit le reste à une telle coquille vide que les griffes du héros ne peuvent qu’y brasser de l’air.
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Beaucoup trop de ninjas pour une présence minime de mutants.
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Wolverine s'est débarrassé de ses amis mutants : malheureusement, il n'est pas aidé dans ce nouvel épisode, qui doit composer avec des effets spéciaux moyens et un scénario poussif.
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Wolverine grogne toutes griffes dehors dans un univers factice et terne de ninjas silencieux. Un désastre.
Wolverine : le Combat de l'Immortel