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Après avoir venté les vertus thérapeutiques d’un médicament chinois à base de cornes de rhinocéros, Elle MacPherson s’est attiré les foudres de plusieurs sociétés protectrices des animaux !Lorsqu’une célébrité commet une erreur de communication outre-Atlantique, les associations et autres organisations spécialisées n’hésitent pas une seconde à le lui faire remarquer. Et ce n’est pas Kristen Stewart qui vous dira le contraire !Le mannequin australien Elle MacPherson en a fait la désagréable expérience suite à ses déclarations sur les bienfaits des cornes de rhinocéros, qui l’ont immédiatement expédiée dans la liste noire des associations protectrices des animaux.À la source de toute cette histoire, une déclaration effectuée par la jeune femme via son compte Twitter, afin de conseiller l’ingrédient : "C’est un peu comme de l'os écrasé avec des champignons dans une capsule. Mais ça marche…mettez-le comme ça. Ça a fonctionné pour moi."Suite à cette déclaration, plusieurs groupes de défense des animaux sont montés au créneau afin de condamner les propos de la star. En effet, le remède d’origine chinoise a été interdit à la vente à cause des dégâts qu’il engendre chez les rhinocéros."La société internationale de l’humanité condamne le braconnage des rhinocéros, particulièrement pour son utilisation dans des produits de beauté, a déclaré un porte-parole de l’association. Les actions de Madame MacPherson sont répréhensibles."La porte-parole d’une autre association a également ajouté concernant l’affaire : "Il n’y a aucune excuse pour l’utilisation d’un produit venant d’un animal menacé. Premièrement et avant tout, la vente de produits venant de rhinocéros est interdite (…) et deuxièmement, quatre espèces de rhinocéros sur cinq sont littéralement en voie d’extinction."Et de conclure : "Elle est une femme d’affaires brillante qui est connue du public depuis des dizaines d’années et les gens écoutent ce qu’elle dit. Elle doit prendre ses responsabilités concernant ses propos et encourager les gens à chercher des méthodes de médecine parallèle viables."