-
Métaphore du couple et de ses lassitudes, fable sur l'envie d'ailleurs, L'Iceberg est aussi, surtout, un formidable moment de poésie incongrue où les mots prennent peu de place, où les corps patauds deviennent gracieux et envahissent l'espace (...) A part Jacques Tati et Buster Keaton, hormis Aki Kaurismäki, qui donc dans le cinéma, manie le burlesque ? Abel et Gordon, désormais. Qu'on les accueille avec chaleur !