Comme de nombreux créateurs en ce début d'année, le réalisateur de l'animé d'horreur Another, Tsutomu Mizushima, a adressé ses v?ux à ses fans. La diffusion du premier épisode intitulé « Rough Sketch » étant prévue pour le 9 janvier, il est bien sûr très occupé, mais il a quand même tenu à faire une précision au sujet de la série.« Selon les personnes, certaines représentations peuvent paraître dérangeantes mais je n'ai aucune intention de les atténuer. Ne m'en tenez pas rigueur. »L'an passé, Tsutomu Mizushima avait déjà montré qu'il n'était pas du genre à faire des compromis, au risque de déplaire à certains. Avant le lancement de la première saison de la comédie Ika-Musume, il avait en effet tenu à préciser qu'elle serait tout public et qu'elle ne contiendrait aucun contenu qui puisse choquer les plus jeunes.En France, Another sera diffusé gratuitement sur la chaîne Dailymotion de Dybex.Synopsis :Il y a 26 ans, une élève de troisième année nommée Mei Misaki fait l'admiration de ses camarades. Un jour, cette élève brillante en sports, avenante et intelligente meurt subitement. Traumatisés, les élèves décident de faire comme si Misaki était encore parmi eux, laissant sa table vide et continuant à la saluer le matin. Cette jolie histoire va pourtant faire apparaitre un étrange phénomène...Printemps 1998. Kôichi Sakakibara arrive dans le groupe 3 des troisième année. Il est intrigué par l'ambiance de cette classe qui paraît effrayée par quelque chose. Dans ce groupe, une élève se détache, il s'agit de la jolie Mei Misaki. Elle porte un bandage sur un ?il et passe son temps à dessiner seule. Intrigué par elle, Kôichi tente de s'en rapprocher mais est confronté à de nombreux mystères. De quoi cette fille est-elle au courant ? Ou plutôt, qui est cette fille ? Il finit par la rencontrer en dehors de l'école mais n'apprend absolument rien à son sujet. Alors que l'atmosphère de la classe va en s'alourdissant de jour en jour et un jour, on apprend que la déléguée de classe, Yukari Sakuragi a succombé à une mort violente...illustration ©Kadokawa Shoten / Another Committee
L'édition d'hiver du Comic Market s'est déroulée du 29 au 31 décembre 2011 au Tokyo Big Sight. Il s'agissait de la 81ème édition de cette foire du manga et de l'animation, la plus importante au monde. Cet évènement dont l'entrée est libre met en avant les cercles, ces groupes d'amateurs qui vendent leurs reprises de créations inspirées de la culture populaire japonaise (manga, animation, jeu vidéo, musique, etc.).Cette année, 500 000 visites ont été enregistrées (150 000 le 29, 170 000 le 30 et 180 000 le 31), soit 40 000 de moins qu'à la dernière édition d'été et 20 000 de moins que l'an passé à la même période. Un score qui n'a rien de honteux, surtout si l'on prend en compte le froid qui régnait ces jours-ci dans la capitale japonaise (entre 0 et 5°C), le faible taux du yen et les évènements qui ont frappé le Japon l'an passé.Plus de cent sociétés et 35 000 cercles ont exposé leur savoir-faire tandis que des centaines de cosplayeurs faisaient le bonheur des photographes avec des costumes imitant leurs héroïnes et héros préférés. Le site japonais Temple Knights a effectué une revue de presse internet qui permet de découvrir des centaines de photos prises lors de ce Comiket. Préparez-vous à y passer la soirée si vous comptez tout regarder !Crédits photo (Comiket d'été) : Denys Fontanarosa
D'après le Bessatsu Shônen Magazine, qui est, comme son nom l'indique en japonais, une parution secondaire du fameux Shônen Magazine, le manga Joshiraku aura bientôt droit à une adaptation en dessin animé. Ce manga dont le titre est un mot-valise constitué de joshi (femme) et de raku (pour rakugo), est l'?uvre de Kôji Kumeta (Katte ni kaizô, Sayonara Zetsubô-sensei) et de l'illustrateur Yasu.Ayant pour sujet principal le rakugo, cet art japonais du monologue humoristique qui joue beaucoup sur les mots, le titre risque néanmoins d'être difficile à adapter en occident, même si des initiatives visant à faire connaître le « stand-up assis » du Japon apparaissent ça et là en France. On notera que l'histoire de Joshiraku tourne autour de plusieurs artistes féminines de rakugo et qu'elle se déroule exclusivement au sein d'un théâtre.
Le 11 janvier sortira dans les salles françaises le nouveau film du studio Ghibli : La colline aux coquelicots. Inspiré d'un manga de Chizuru Takahashi et de Tetsurô Sayama originellement sorti en 1980 au Japon, ce long métrage a été réalisé par Goro Miyazaki, le fils de la légende Hayao Miyazaki (Princesse Mononoké, le voyage de Chihiro). Le 11 janvier, ce sont aussi le manga original et le « livre du film », un ouvrage de 152 pages dans lequel on peut retrouver des images directement extraites du long métrage, qui sortiront en France. Mais pour les plus impatients qui veulent un avant-goût de l'univers de La colline aux coquelicots, rien de tel que la bande originale composée par Satoshi Takebe. Le titre culte Ue wo muite arukô (traduit pour l'occasion « marchons en regardant le ciel ») et les trois chansons interprétées par Aoi Teshima et sa jolie voix sont bien sûr de la partie.Egalement en vente la BO du film Pour se procurer ce travail plein de nostalgie et de légèreté, deux solutions : le site du label Wasabi pour une version matérielle (17,99 ?) iTunes pour une version à télécharger (9,99 ?). Des extraits audio sont également disponibles sur ce dernier. Synopsis officiel du film :Yokohama, 1963. Umi est une jeune lycéenne qui vit dans une vieille bâtisse au sommet d?une colline surplombant le port de Yokohama. Chaque matin, depuis que son père a disparu en mer, elle hisse deux pavillons face à la baie, comme un message lancé à l?horizon. Au lycée, quelqu?un a même écrit un article sur cet émouvant signal dans le journal du campus. C?est peut-être l?intrépide Shun, le séduisant jeune homme qu?Umi n?a pas manqué de remarquer... Attirés l?un par l?autre, les deux jeunes gens vont partager de plus en plus d?activités, de la sauvegarde du vieux foyer jusqu?à la rédaction du journal. Pourtant, leur relation va prendre un tour inattendu avec la découverte d?un secret qui entoure leur naissance et semble les lier...Dans un Japon entre tradition et modernité, à l?aube d?une nouvelle ère, Umi et Shun vont se découvrir et partager une émouvante histoire d?amitié, d?amour et d?espoir.
Le site japonais MyNavi a lancé à l'automne un sondage pour savoir quels personnages féminins des ?uvres du studio Ghibli ses lecteurs préfèrent. 700 femmes ont répondu à l'appel et désigné les noms suivants :1. Nausicaä (héroïne de Nausicaä de la vallée du vent) : 20 %2. Osono (boulangère dans Kiki la petite sorcière) : 18,9 %3. Sheeta (héroïne du Château dans le ciel) : 15 %4. San (héroïne de Princesse Mononoké) : 13,1 %5. Kiki (héroïne de Kiki la petite sorcière) : 11,7%La plupart des femmes interrogées ont souligné à la fois la force de caractère et la gentillesse de celles à qui elles ont donné leur vote.Curieusement, les hommes n'ont été que 300 à répondre. De leur côté, ils mettent souvent en exergue le courage des femmes pour qui ils ont voté. Voici leur top 5 :1. Nausicaä : 18,7 %2. Sheeta : 17,3 %3. Kiki : 13,0 %4. Shizuku (héroïne de Si tu tends l'oreille) : 11,7 %5. Madame Gina (amie du héros de Porco Rosso) : 9.0 %Rappelons que Nausicaä de la vallée du vent est un manga de Hayao Miyazaki adapté en long métrage d'animation en 1984. Bien qu'il ait été créé par une équipe qui est ensuite devenue le studio Ghibli, le film reste officiellement en dehors de l'histoire du studio. Image : édition française du blu-ray Nausicaä
<strong>Désormais, chaque semaine, en partenariat avec Wakanim, Premiere.fr fera le point sur l'actualité des séries japonaises, les fameuses animes.</strong> Fort de son expertise en la matière, <strong>Wakanim.TV,</strong> la plate-forme communautaire de diffusion légale d'animes (en vostfr et en streaming) est en effet le partenaire idéal pour vous faire part de ce qui ce passe du côté de ces séries que l'on aurait tort de mésestimer...
Désormais, chaque semaine, en partenariat avec Wakanim, Premiere.fr fera le point sur l'actualité des séries japonaises, les fameuses animes. Fort de son expertise en la matière, Wakanim.TV, la plate-forme communautaire de diffusion légale d'animes (en vostfr et en streaming) est en effet le partenaire idéal pour vous faire part de ce qui ce passe du côté de ces séries que l'on aurait tort de mésestimer...
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