Toutes les critiques de Amore Carne (Documentaire)

Les critiques de Première

  1. Première
    par Eric Vernay

    Décousue, agaçante de narcissisme affecté, cette errance funèbre filmée avec un téléphone portable échoue à transcender ses quelques belles idées poétiques.

Les critiques de la Presse

  1. Le Monde
    par Jacques Mandelbaum

    Entre journal intime, documentaire et autofiction, Pippo Delbono poursuit avec bonheur et violence son exploration du territoire cinématographique, avec pour camp de base son expérience du théâtre.

  2. Le Canard Enchainé
    par La rédaction du canard enchaîné

    Pippo Delbono, ou l'art de capter des moments, des rencontres : du vrai cinéma, pas pipeau.

  3. Les Fiches du cinéma
    par La redaction de Les Fiches du Cinema

    Pippo Delbono, célèbre metteur en scène de théâtre italien, nous livre des bribes de son quotidien, et évoque sa maladie, ses amis, la poésie, la mort... Ce collage confus d'images filmées au téléphone portable se révèle prodigieusement ennuyeux et vain.

  4. Critikat.com
    par Anne-Violaine Houcke

    C’est le tort de ce film peut-être, en même temps que son principe même : celui de ne pas savoir s’arrêter, de refuser la fin. S’étirant outre mesure, il finit aussi par agacer, par laisser poindre le risque d’une prétention, ou d’un égocentrisme, sauvé par des instants de grâce.

  5. Les Inrocks
    par J.B. Morain

    Un autoportrait sans pitié de l’artiste, provocateur mais sincère.

  6. Libération
    par Gérard Lefort

    Amore Carne est un chant incarné où le vrai faux documentaire d’un test de dépistage du sida a priori sinistre et angoissant prend des allures de commedia dell’arte.

  7. Télérama
    par Frédéric Strauss

    Pippo Delbono livre un poème lyrique, incantation de sorcier face aux énigmes de la vie, de l'amour. Un cinéma en bataille qui déconcerte et impressionne tout à la fois.

  8. Les Cahiers du cinéma
    par Joachim Lepastier

    Des dégâts du numérique fait maison, chapitre 6 254. (…) Difficile de trouver une place accueillante dans ce bloc-notes rugueux et en roue libre, beaucoup moins risqué et écorché qu’il n’y paraît.

  9. Le Figaro
    par Gaël Reyre

    Ce collage confus d'images filmées au téléphone portable se révèle prodigieusement ennuyeux et vain.

  10. Nouvel Obs
    par Xavier Leherpeur

    Pippo Delbono filme sa vie d’artiste, sa maladie, sa folie et sa mère malade. Mais il ne délivre au final de cette catharsis expérimentale qu’un brouillon pseudo-poétique, épuisant d’effets formels ratés et à usage purement personnel.