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Le titre français du nouveau long-métrage d’Andrew Haigh en rappelle un autre : La balade sauvage, œuvre inaugurale de Terrence Malick (1973) qui voyait un couple de Bonnie & Clyde, à la fin des fifties, quitter l’hostile civilisation pour une nature à priori protectrice. C’est un même trajet, une même errance dans une Amérique certes contemporaine mais toujours aussi si vaste, qu’opère cette route sauvage.