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Le chanteur à scandales Robbie Williams vient de se mettre toutes les associations de lutte anti-drogues à dos. Monsieur fait l'apologie du cannabis à la radio !Après Ellen Pompeo et sa pétition en faveur de la légalisation du cannabis, c'est au tour de Robbie Williams de prêter main forte à la feuille verte ! L'ancien chanteur de Take That, qui a eu beaucoup de mal à se sevrer de toutes ses addictions de drogues, d'alcool et à sortir de dépression, a déclaré récemment à Radio Times qu'il avait arrêté de fumer du shit uniquement parce que ça le faisait grossir ! "Vous m'avez vu l'année dernière ? Regardez des photos de l'année dernière. L'année du gavage 2009 ! La weed, c'est une drogue géniale. Mais ça ne me convient pas. Y a pas besoin d'en prendre beaucoup pour que ça fasse effet ! Je devenais taré dès que j'en prenais ! Mais c'est honteux la weed, parce que dieu que j''adorais ça". On savait que Robbie aimait la provoc', mais là ça va un peu loin !En gros, le seul truc qui gênait Robbie, c'était ces grosses fringales déclenchées par la fumette. Ses poignées d'amour lui ont donné envie de devenir clean ! Chacun ses motivations ! Heureusement, sa future femme Ayda Field, l'encourage à avoir une vie plus saine !Plus sérieusement, les supers dépressions qui suivaient les multiples abus du bonhomme ont eu raison de ce fun chimico-artificiel : "J'étais en train de mourir, mais j'en étais arrivé à un point que je m'en foutais totalement. J'avais déjà été gros et déprimé avant (de rentrer en rehab à 33 ans, nldr). Alors pour cette cure là, je me disais que j'allais peut-être mourir"Après ces confidences un peu spéciales, les associations anti-drogues anglo-saxonnes se sont déchaînées, critiquant à juste titre qu'une star fasse l'apologie d'un produit dangereux. L'infirmière Chris Hudson, de l'association anglaise drogues infos service a rappelé que le cannabis pouvait être le déclencheur de maladies psychiatriques telles que la schizophrénie : "Les problèmes mentaux qui dérivent de la consommation du cannabis sont la paranoïa, les crises de panique, l'anxiété et la dépression. Plus la consommation est importante, plus le risque augmente"