Toutes les critiques de Les Fils qui se touchent

Les critiques de Première

  1. Première
    par Lucie Chiquer

    À 50 ans, on lui détecte une anomalie de l’hippocampe, petite région cérébrale qui sculpte les souvenirs. Si Nicolas Burlaud n’est plus en mesure de résister à l’effacement, son travail le peut : images médicales et archives documentaires de son engagement au sein d’un média marseillais se confondent grâce à un montage ludique, tissant des liens entre mémoire individuelle et collective. Une œuvre d’une grande générosité, puisque celle d’un homme qui nourrit notre hippocampe tandis qu’il renonce au sien.

  2. Première
    par Lucie Chiquer

    À 50 ans, on lui détecte une anomalie de l’hippocampe, petite région cérébrale qui sculpte les souvenirs. Si Nicolas Burlaud n’est plus en mesure de résister à l’effacement, son travail le peut : images médicales et archives documentaires de son engagement au sein d’un média marseillais se confondent grâce à un montage ludique, tissant des liens entre mémoire individuelle et collective. Une œuvre d’une grande générosité, puisque celle d’un homme qui nourrit notre hippocampe tandis qu’il renonce au sien.